Le pâturage tournant dynamique, un levier pour accroître l’autonomie en protéines
Il a choisi cette technique pour être autonome en protéines sur la période de pâturage et parce que cette technique lui permet de capter du carbone dans les sols et d’augmenter la biodiversité.
- Le déclic : Le passage en bio
« Le pâturage tournant dynamique m’a paru le mieux adapté pour aller au bout de la démarche d’économie d’intrants et d’autonomies fourragère et protéique. En plus, j’ai la satisfaction de voir les animaux libres et dehors la majeure partie de l’année. »
- Son conseil : se faire accompagner
« Se faire aider par un expert pour la mise en place et le suivi des parcelles et échanger avec des éleveurs qui pratiquent le pâturage tournant dynamique. Surtout pour moi qui ai complètement changé mon système je pratiquais peu le pâturage avant.
En bref, quels sont les gains de cette pratique ?
- Améliorer l’autonomie fourragère et protéique
- Bien-être de l’éleveur
- Des animaux plus sereins et plus libres
- Augmenter la matière organique et la biodiversité pour être en auto-fertilisation
Découvrez le portrait d’Emmanuel Cagnin et la fiche technique dédiée à la mise en pratique du pâturage tournant dynamique sur sa ferme.
La ferme de Blajan a bénéficié de l’accompagnement de l’équipe de la Chambre d’agriculture de la Haute-Garonne, Richard Gourmanel, et Carole Merienne dans le cadre du projet @Cap Protéines
CapProteines est un programme de reconquête de la souveraineté protéique de la France porté par
TerresInovia et InstitutElevage( IDELE)
https://www.cap-proteines-elevage.fr/dossier/les-bovins-lait